Suite aux évènements récents survenus aux Professeurs emprisonnés,les enseignants du primaire et du secondaire suspendent leur participation a la
trêve social.
Cette revendication effectuée par les enseignants du supérieur a eu plusieurs conséquences négatives. En plus d’être un frein a l’education des jeunes elle a conduit le secretaire genegral de la CNEC et un autre enseignants derrieres les brreaux de la Maison d’Arret et de Correction d’Abidjan (MACA).
Les enseignants sont inculpés pour trouble a l’odre publique injures et sequestrations.
Depuis leur transfert à la MACA, le cri d’indignation des enseignants se fait entendre de partout.
Ils revendique la libération immédiate de leur collegue qui d’apres eux ont été arreté injustement puis incarceré.
C’est pour soutenir leur collègues emprisonnés que les enseignants du primaire et du secondaire ont émis cette trêve avec le gouvernement.
À cet effet, 8 syndicats ont suspendu le mercredi leur participation au dialogue social pour protester contre l’arrestation des deux enseignants supérieurs.
Cette information a été véhiculée par Theodore Gnagna Zadi, porte parole de la plate forme nationale des organisations du secteur public de la Cote d’ivoire face a la presse.
Pour eux il s’agit d’une violation flagrantante des libertés syndicale et de la pratique des activités syndicales Cote d’Ivoire selon l’article 17 de la constitution et de la convention 87 et 92 de l’Oraganisation Internationale du Travail ratiffié par l’Etat Ivoirien.
Rappelons que l’enseignement primaire et secondaire avait déjà commencé une grève depuis 3 semaines.
La ministre de l’éducation Nationale Kandia Camara a rappeler qu’il ne devrait plus avoir de grève jusqu’en 2022 vu la trêve sociale signée en 2017.
Vu tout ces évènements nous nous demandons si l’Etat réagira positivement aux requêtes des enseignants et libérera les enseignants afin d’essayer d’etablir à nouveau un dialogue avec les enseignants.
MORINE KONAN